Dans la prise en considération de la personne dans sa globalité, en cultivant le positif et en favorisant l’autonomie, le coaching d’accompagnement offre une alternative à la thérapie pour des mots comme … état dépressif, anxiété, mal-être, troubles émotionnels et relationnels, troubles du sommeil …

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L’approche du coaching d’accompagnement associé à la PNL propose de s’intéresser non pas au sujet mais aux processus qui sont à l’œuvre dans les situations qui nous gênent dans nos quotidiens. Cela peut être une habitude récurrente, un comportement dont nous ne voulons plus, des « handicaps » qui nous empêchent de nous épanouir dans nos vies personnelles, professionnelles et sociales, familiales, intimes.

Une orientation vers les états dépressifs

Dans ce monde actuellement très agité, les souffrances dites psychiques ont hélas le vent en poupe. Le coaching n’a clairement pas de prétention thérapeutique et c’est précisément pour cela qu’il peut être proposé en tant qu’alternative pour aider dans les troubles de l’humeur et émotionnels. Et j’ai décidé de consacrer une partie de mon activité de coach de vie à cette problématique.

Je suis d’avis que la « dépression » n’est pas une maladie, mais un état. Personne n’est dépressif à vie, totalement, en permanence. Même si cet état peut devenir « maladif » surtout lorsqu’il est entretenu par la croyance qu’il s’agit d’une maladie, dans ma pratique je reçois une personne, un être vivant, humain, sensible.

L’état dépressif premier facteur d’invalidité

Les souffrances émotionnelles et de l’humeur touchent 1 personne sur 5 durant le cours de la vie (1), et connaissent une très forte évolution depuis la pandémie : + 25% rien que la première année (2) ! Peurs, solitude, isolement, restrictions associés à une pression traumatisante permanente ont laissé sur le carreau beaucoup de nos voisins, amis, et les jeunes génération s qui ont du mal et avec raison de trouver leur place dans ce monde.

Les traitements classiques à base de médication (surtout) trop facilement prescrite (2) et de séances de psy ont un risque de rechute de 75% (1), ce qui ne correspond pas franchement à une stratégie optimale ! Certaines personnes, notamment les plus jeunes, ne veulent pas d’une posture de patient à thérapeute et se tourneraient volontiers vers d’autres solutions que la classique thérapie.

Eviter la rumination du parcours du psy

On évite ainsi les classiques séances de psy en ressassant le passé, ce qui génère de la rumination. Or, elle est toxique (4). La rumination augmente en effet l’activité des circuits cérébraux de réponse au stress, et quand ces circuits sont actifs, le système immunitaire s’arrête, la pensée rationnelle aussi, et les hormones de la sérénité et celles dédiées au sommeil sont suspendues. Une autre étude a montré que simplement repenser à une situation stressante entretient une tension artérielle et un rythme cardiaque parfois aussi élevés que durant un stress, ceci même après que le facteur de stress ait disparu (5). De plus, les personnes ruminant une expérience stressante mettent plus longtemps à remonter la pente (6) ce qui explique pour partie les parcours interminables de ce type de thérapie…

Eviter la facilité de la médication chimique

D’autres veulent éviter de céder dans la « facilité » de la médication, qui n’est pas aussi performante qu’on le pense (7) par rapport aux placébos comme le montrait une méta-analyse publiée en 2020 dans PlosOne. Mieux, une autre large étude (8) démontrait que la thérapie cognitivo-comportementale est au moins aussi efficace que les médicaments dans le traitement de la dépression, même sévère. On notera le « même sévère ».

Mais la médication peut s’avérer dangereuse voire même fatale, comme l’a clairement démontré une autre large étude publiée en 2020 par le très sérieux CSHL en collaboration avec l’université de Yale et le British Medical Journal (9) : non seulement les études publiées sur les anti-dépresseurs ont omis des résultats peu flatteurs pour leur efficacité et révèlent des conflits d’intérêt, mais en plus, la ré-étude menée sur un large éventail de molécules montre que les anti-dépresseurs présentent un risque significatif de suicide (bien plus élevé que la non-prise de ces mêmes médicaments).

Le coaching « global »

Le coaching « global » est basé sur la valorisation de la personne humaine, dans son entièreté. Mon inclinaison pour les médecines naturelles et notamment la médecine traditionnelle chinoise me conduisent tout naturellement à ne pas considérer la maladie, mais la personne. Il en est de même pour le coaching que je pratique.

C’est d’abord un dialogue, dans l’accueil et le non-jugement, une relation d’adulte à adulte. Par l’écoute et les questions, cette méthode douce favorise les prises de consciences positives et recrée de l’espace ! Elle favorise la confiance et l’estime de soi, et la pensée positive qui est si précieuse (10) dans la reconquête de l’espoir : l’espoir réduit la rumination (11), il est juste un élément absolument fondamental pour sortir de la souffrance psychologique.

En plus de cette méthode de dialogue, entrent en scène des méthodes actives et ludiques de PNL : la Programmation Neuro-Linguistique qui n’est autre que de reconsidérer la carte du monde sous un angle différent.

Je propose toujours que certaines (ou toutes les) séances se passent « en extérieur » : Parce que le contact direct avec la nature peut avoir de meilleurs effets que la prise en charge médicamenteuse comme l’a montré notamment cette étude américaine (12) : le corps et la tête marchent ensemble, d’ailleurs il est impossible d’être déprimé quand on prend une posture physique optimiste. Essayez donc de pleurer avec la tête haute, les épaules en arrière, et un sourire aux lèvres….

Etant  une méthode globale là aussi, j’aborde aussi le sujet des aliments qui ont des propriétés anti-déprime (13), ceci sans même faire de régime !

Et parce que le coaching n’est définitivement pas cloisonné, je me sers des 24 techniques d’acupression TUINA de la Méthode Traditionnelle Chinoise qui a de très bons résultats sur les troubles psychiques, notamment sur les états dépressifs et le sommeil, voir (14), et (15).

Tout ceci en combinaison des huiles essentielles, qui sont des alliées précieuses pour les états dépressifs (16).

En Action !

Le coaching d’accompagnement, c’est enfin la mise en action : la solution réside EN la personne et ne vient jamais de l’extérieur ! J’établis avec la personne que j’accompagne les actions concrètes à réaliser entre deux séances. Et chaque fin de séance est l’occasion de faire le bilan de ce qui a marché, et la séance suivante commence de la même manière.

Ensemble, petit à petit, nous cultivons les mots … ESPOIR  – Estime – Confiance – Respirer – Apaisé – Valorisé – Autonomie – LIBRE

références

(1) https://www.inicea.fr/la-depression-chiffres-cles

(2) https://www.psychologies.com/Bien-etre/Medecines-douces/Se-soigner-autrement/Articles-et-Dossiers/Psycho-s-engage-contre-l-abus-d-antidepresseurs/Antidepresseurs-J-ai-fait-la-tournee-des-generalistes

(3)  https://www.who.int/fr/news/item/02-03-2022-covid-19-pandemic-triggers-25-increase-in-prevalence-of-anxiety-and-depression-worldwide

(4) https://health.usnews.com/wellness/mind/articles/2018-03-14/the-hazards-of-rumination-for-your-mental-and-physical-health

(5)https://web.archive.org/web/20141014170441id_/http://psy2.ucsd.edu:80/~nchristenfeld/Publications_files/Rumination%20PsychMed.pdf

(6) :https://www.researchgate.net/publication/323145423_Worry_and_rumination_do_they_prolong_physiological_and_affective_recovery_from_stress

(7) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7451660/

(8) http://www.antidepressantsfacts.com/1995-12-Antonuccio-therapy-vs-med.htm

(9)  https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.11.20098178v1.full

(10) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7968188/

(11) https://ijmhs.biomedcentral.com/articles/10.1186/1752-4458-8-53

(12) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4507237/

(13) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5050395/

(14) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7600300/

(15) https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0965229920318604

(16) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32304038/

 

 

 

 

 

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